Curieux roman avec des figures de style qui impressionnent :
de nombreuses anaphores ponctuent et rythment le récit : tous les paragraphes du premier chapitre commencent par « sur le bateau » ;
chaque chapitre relate un des problèmes auxquels elles ont été confrontées en raison de leur immigration, ce qu’elles ont découvert, ce qu’elles ont souffert pendant des décennies, jusqu’à la deuxième guerre mondiale où petit à petit toute la population d’origine japonaise a été soupçonnée d’espionnage et de traitrise.
D’autant plus intéressant que c’est un point d’histoire que j’ignore. Je vais chercher tout de suite ce que ce roman ne révèle pas !
Pierrette
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire